Career Talk avec Samuel Oliveira, ingeniéur de projet chez TBF + Partner
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Bonjour Samuel, es-tu prêt à nous parler un peu de ton parcours professionnel ?
Bien sûr ! Je m’appelle Samuel Olivera. Je viens du canton de Fribourg et j’y ai étudié l’électronique à la Haute école d’ingénierie et d’architecture.
Où travailles-tu aujourd’hui et sur quels projets travailles-tu concrètement ?
Je travaille aujourd’hui chez TBF + Partner. Mon domaine d’activité se divise en deux secteurs : d’un côté, les transports publics, et de l’autre, l’incinération des déchets.
Nous accompagnons les entreprises du début à la fin. Cela signifie que nous prenons tout en charge – de l’étude de faisabilité à la réalisation. Cela inclut aussi les commandes de matériel, la direction des travaux et, enfin, la réception finale sur place.
Qu’est-ce qui te plaît particulièrement dans ton travail ?
Ce que j’aime le plus, c’est que je vais travailler chaque jour en sachant que j’utilise réellement des projets que j’ai moi-même – ou que mon entreprise a – contribué à développer. On voit directement les effets de son propre travail.
T’attendais-tu à cela pendant tes études ?
Oui, on nous le disait souvent à l’école : « Vous travaillerez plus tard dans des entreprises de la région, vous réaliserez des choses concrètes. » Et maintenant, je vois à quel point c’est vrai. C’est très gratifiant de voir chaque jour les résultats de son propre travail. Cela me rend fier.
Y a-t-il d’autres aspects qui te motivent ?
J’aime bien me promener avec des amis et pouvoir dire : « Regarde, j’ai travaillé sur cette ligne » ou « Ce dépôt, c’est moi qui l’ai réalisé. » C’est une sensation très agréable.
Quelles qualités faut-il selon toi pour réussir dans ce métier ?
Il faut être autonome et motivé. Quand on termine un projet, il faut être capable de réclamer soi-même la prochaine tâche. Ce n’est pas agréable pour tout le monde – il faut aussi savoir gérer la pression et le stress.
Et toi, comment gères-tu cela ?
Moi, cela me motive. J’ai besoin de sentir que le temps ne passe pas en vain. Et pour être honnête : mes huit heures et demie de travail par jour passent à toute vitesse – et c’est exactement ça qui me motive jour après jour.
Merci beaucoup pour ton temps !